


Hereke
Les tapis Héréké : une tradition ottomane de luxe
Les tapis Héréké, pièces rares et précieuses, trouvent leurs origines dès le XVIIe siècle, dans les environs de Constantinople (l'actuelle Istanbul).
Cependant, c'est en 1844 que la production de ces tapis a véritablement pris son essor, sur la rive sud de la mer de Marmara. La fin du XIXe siècle marque une période particulièrement florissante pour cette production.
Une production impériale et prestigieuse
Héréké s'est distinguée par la fabrication de somptueux tapis de soie et de laine. Nombre de ces créations étaient offertes en hommage impérial aux familles royales et aux chefs d'État à travers l'Europe.
L'esthétique de ces tapis ne se caractérisait pas par une originalité radicale. Influencée par les courants artistiques de l'époque, la production s'inspirait d'œuvres renommées. De ce fait, les tapis Héréké présentaient des similitudes avec les tapis persans, tout en intégrant des éléments décoratifs des tapis Ghiordès classiques et de certains tapis d'Asie centrale.
Le contexte géographique et historique de Héréké
La ville de Héréké, située au fond d'une baie du golfe d'Izmit, à 67 km d'Istanbul, se trouve sur le site supposé de l'ancienne Ankyrou, lieu du décès de Constantin le Grand en 337.
La manufacture de Héréké : un symbole de raffinement
La manufacture de Héréké est réputée pour l'excellence de ses tapis. Établie sous l'égide des sultans, elle perpétuait la réalisation de modèles anciens, caractérisés par leur luxe et leur finesse d'exécution.
La beauté des tapis Héréké : une expérience visuelle unique
La photographie ne peut pleinement rendre compte de la précision des motifs ni, surtout, des reflets chatoyants du velours, dont l'aspect varie selon l'incidence de la lumière.
L'ensemble dégage une impression de douceur et de grâce, témoignant du niveau de perfection atteint par les artisans des tapis Héréké.
Les tapis Héréké : une tradition ottomane de luxe
Les tapis Héréké, pièces rares et précieuses, trouvent leurs origines dès le XVIIe siècle, dans les environs de Constantinople (l'actuelle Istanbul).
Cependant, c'est en 1844 que la production de ces tapis a véritablement pris son essor, sur la rive sud de la mer de Marmara. La fin du XIXe siècle marque une période particulièrement florissante pour cette production.
Une production impériale et prestigieuse
Héréké s'est distinguée par la fabrication de somptueux tapis de soie et de laine. Nombre de ces créations étaient offertes en hommage impérial aux familles royales et aux chefs d'État à travers l'Europe.
L'esthétique de ces tapis ne se caractérisait pas par une originalité radicale. Influencée par les courants artistiques de l'époque, la production s'inspirait d'œuvres renommées. De ce fait, les tapis Héréké présentaient des similitudes avec les tapis persans, tout en intégrant des éléments décoratifs des tapis Ghiordès classiques et de certains tapis d'Asie centrale.
Le contexte géographique et historique de Héréké
La ville de Héréké, située au fond d'une baie du golfe d'Izmit, à 67 km d'Istanbul, se trouve sur le site supposé de l'ancienne Ankyrou, lieu du décès de Constantin le Grand en 337.
La manufacture de Héréké : un symbole de raffinement
La manufacture de Héréké est réputée pour l'excellence de ses tapis. Établie sous l'égide des sultans, elle perpétuait la réalisation de modèles anciens, caractérisés par leur luxe et leur finesse d'exécution.
La beauté des tapis Héréké : une expérience visuelle unique
La photographie ne peut pleinement rendre compte de la précision des motifs ni, surtout, des reflets chatoyants du velours, dont l'aspect varie selon l'incidence de la lumière.
L'ensemble dégage une impression de douceur et de grâce, témoignant du niveau de perfection atteint par les artisans des tapis Héréké.